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08/05/2013

Voir

Ce n’est pas parce que le baccalauréat approche qu’il faut succomber aux tartes à la crème des sujets (ne devrait-on pas dire objets d’ailleurs ?) de philosophie. Pas de discussion donc à partir de l’éculé « l’art imite-t-il la nature ? » ni de son plaisant inversé, nous voulons parler de la formule d’Oscar Wilde « la nature imite l’art ».

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Bornons nous ici à constater que la réponse à ces questions, et à bien d’autres, est dans le regard. Notre manière de voir, d’observer, nous définit mieux que de longs discours.

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Voir, regarder, observer, c’est une question d’échelle, de catégorie, de représentation, de mode d’appréhension du réel, du symbolique et de l’imaginaire, coucou Lacan.

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Mais si l’on veut savoir ce qu’il y a véritablement dans une toile de Rothko, et donc la raison pour laquelle ce peintre consacra la plus grande partie de sa vie à enduire des toiles de grandes surfaces colorées, les traces de voyage, de temps et de poésie prélevées sur une épave de bateau sont les bienvenues.

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Le regard, où la manière dont chacun d’entre nous appréhende les ombres et lumières du monde auquel il appartient.

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