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27/11/2009

Tel épris...

…qui croyait prendre. Tout épris de beauté féminine l’auteur de ce blog s’est fait reprendre par une lectrice qui constate que décidément, dans les musées les peintres sont masculins et les nus sont féminins et que ce blog n’échappe pas à la règle. Cette remarque est incluse dans un texte plus général sur le métier de consultant et le rapport à son travail et au travail d’autrui. Il m’en a rappelé un autre, signé Philippe Denimal et intitulé « Travail magique » qui explique comment est né l’intérêt pour le travail, à la fois le sien propre et celui d’autrui. Ces textes expriment de belles implications dans l’activité et sont publiés ci-dessous.

Mais pour satisfaire la pertinente lectrice, quelques illustrations équilibrantes de nus masculin. Le Metropolitan n’en est pas exempt  et l’on fera crédit à l’auteur que l’un d’entre eux au moins ne lui a pas échappé :

DSC01522.JPG
Gustave Moreau - Oedipe et le Sphinx

De même, l’auteur n’a pas tourné son objectif que vers des formes féminines, preuve par la photo.

jpw015.jpg
Photo : jp willems

Mais l'intérêt n'est pas dans l'isolement des contraires, plutôt dans leur union. On rappellera par cette sculpture du Metropolitan que les corps nus s'accordent mieux à deux et que la beauté d'autrui n'efface pas la sienne mais au contraire la conforte comme l'écho renforce le son. La concurrence est une notion économique qui ne trouve pas sa place en esthétique.
DSC01571.JPG
Sculpture du Metropolitan Museum of Art

Le lecteur fidèle se rappellera à cette occasion qu'il y a un an ce blog était illustré du baiser de Rodin, la lutte continue donc, souhaitons lui bon vent !
Et bonne lecture à vous.