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31/12/2009

Et pour finir l'année ? Eve bien sur...

L'année 2009 s'est ouverte sur une chronique illustrée par Max Ernst (voir chronique du 1er janvier 2009). Elle invitait, malgré un contexte récessif et dépressif, à ne pas céder au repli mais au contraire à aller de l'avant : VAMOS était la première des injonctions qui prennent parfois place dans ces chroniques, et qui sont moins des marques d'autorité que des invitations lancées à qui voudra bien les saisir. Mais comment pouvait-on se refuser à l'Eve de Max Ernst, girafe au long cou et à l'oiseau dans les cheveux ?

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Max Ernst - Eve, la seule qui nous reste

Comment clore l'année 2009 ? avec Eve bien sur, qui permet un double salut. A Alain Garrigue, dont la belle maturité apaisée est à la fois accomplissement et promesses, et à l'Espagne qui va présider l'Union Européenne, ce dont je vous reparlerai dès demain et qui justifie que l'année se termine comme elle avait commencée, par une invitation à aller de l'avant : VAMOS SIEMPRE !
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Alain Garrigue - Eve, bien sur - 1998

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