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09/11/2011

Il est minuit...

Le Docteur Schweitzer avait fait du bon travail. Très bon même. Mais avec le déclenchement de la première guerre mondiale, ses origines strabourgeoises, donc allemandes à l'époque,  et l'armée française le conduisirent en prison puis l'obligèrent à quitter le Gabon.

La majorité d'entre eux a fait du bon travail. Et pour certains, du très bon même. Pourtant, une vingtaine d'OPCA disparaîtront le 1er janvier prochain. Au nom de la rationalité, de la centralisation, du contrôle et au final d'une certaine raison d'Etat qui ne peut qu'avoir raison.

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Jeanne Moreau et Pierre Fresnay - Il est minuit docteur Schweitzer

 

Dans la chronique rédigée avec Jean-Marie Luttringer pour l'AEF, sont abordées les questions liées à l'échéance du 1er janvier 2011 pour les OPCA, dont l'impact des regroupements sur la situation des salariés des OPCA.

Albert Schweitzer disait que l'humanité consiste dans le fait qu'aucun homme n'est sacrifié à un objectif. L'Etat aura pourtant consacré bien moins d'énergie à se préoccuper du sort des salariés des OPCA qu'à tenter de mettre ces derniers à son pli. Si l'autonomie des partenaires sociaux n'est guère respectée dans la gestion des OPCA, on peut penser que l'Etat mettra un point d'honneur à la reconnaître pleine et entière lorsqu'il s'agira de gérer les plans sociaux.

Il est minuit dans la Fabrique des OPCA.pdf

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