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25/03/2008

Il n'y a pas d'évidence

A première à vue, le tableau est porteur d'une contradiction : le texte surprend. L'objet représenté semble bien correspondre à ce que le texte voudrait qu'il ne soit pas.

1183526503.jpg
 
Un temps de réflexion toutefois suffit. A défaut, Matisse peut nous aider qui disait : " je ne peins pas une femme, je peins un tableau". Magritte nous indique en effet les trois niveaux d'appréhension de la réalité : l'objet, sa représentation et le commentaire.
 
Tout audit peut travailler sur ces trois niveaux : les faits, leur représentation pour chacun et les commentaires qui en résultent.  A distinguer sans confondre, le diagnostic gagnera en qualité.
 

Commentaires

Je regarde toujours beaucoup les images, tableaux choisis sur ce blog ainsi que leue titre. Liens directs, indirects avec les chroniques qu'ils accompagnent, les choix sont toujours surprenants et m'invitent à écrire.
Je me suis amusée à écrire une nouvelle sur la suite de tableaux suivante:
De Chirico – Le chant d’amour - 1920
Matisse – Le bohneur de vivre – 1905 1906
Rodin - Le baiser - 1890
Le Bernin – L’extase de sainte Thérèse d’Avila - 1650.
Titres suggestifs, images également, apparus dans cette ordre chaque jour sur l'écran.
Votre galerie personnelle me plait bien et je retiens à proposer au prochain atelier d'écriture que j'anime cette suite des derniers jours évocatrice elle aussi:
Tempête -Sans parôle - Route en Mongolie - Plein de perspective, avenir radieux - La tentative de l'impossible.
Merci

Écrit par : Créatures | 11/12/2008

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